Plus de 80 chiens secourus par HSI d'un élevage de viande canine en Corée du Sud se rétablissent dans un refuge d'urgence à Montréal

Humane Society International




    Meagan Duhamel avec son chien, Moo-Tae. Graham Hughes

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MONTRÉAL—La médaillée d’or olympique Meagan Duhamel, accompagnée de représentants de Humane Society International, a rencontré des journalistes dans un abri temporaire de HSI à Montréal, où des douzaines de chiens ayant été secourus la fin de semaine passée d’un élevage de viande canine à Siheung-si, en Corée du Sud, reçoivent actuellement des soins d’urgence nécessaires.

Rebecca Aldworth, directrice générale de HSI/Canada, a déclaré : « Je suis très heureuse que HSI ait pu secourir ces chiens désespérés de l’horrible commerce de la viande canine. Dans l’élevage, de nombreux chiens étaient entassés dans de petites cages métalliques, tandis que d’autres étaient attachés à des poteaux sur le sol. Ils n’étaient pas protégés contre les températures glaciales et n’avaient jamais pu bénéficier de la nourriture, de l’eau, des activités de socialisation et des soins vétérinaires appropriés. Beaucoup d’entre eux étaient décharnés, ils avaient des plaies ouvertes et des infections cutanées. Mais grâce à nos remarquables soutiens, ces chiens ont reçu une deuxième chance et commencent maintenant une nouvelle vie au Canada ».

Devenez défenseur des animaux.

La médaillée d’or olympique Meagan Duhamel, dont le chien Moo-tae a été secouru d’un élevage de viande canine sud-coréen, a déclaré : « Chaque année, des millions de chiens sont soumis à des privations odieuses et à des pratiques cruelles dans des élevages intensifs et sont brutalement massacrés pour le commerce de la viande canine sud-coréen. Je suis heureuse de me joindre à Humane Society International et à de nombreux militants sud-coréens courageux qui travaillent à faire connaître la détresse de ces chiens et à mettre un terme à ce commerce atroce. »

Borami Seo, la conseillère supérieure en matière politique HSI/Corée du Sud a déclaré : « Ne vous méprenez pas, les militants sud-coréens mènent une campagne pour mettre fin au commerce de la viande de chien dans mon pays. La place grandissante des animaux de compagnie en Corée du Sud et l’intérêt de nombreux agriculteurs à quitter progressivement cette industrie indiquent clairement que les jours du commerce de la viande canine sont comptés. Il est temps pour mon gouvernement d’agir pour mettre fin progressivement à cette industrie cruelle en facilitant la transition des éleveurs vers des secteurs d’activités plus humains. »

FAITS :

  • La Corée du Sud est le seul pays où les chiens sont intensivement élevés pour la consommation humaine. Selon des estimations, 2,5 millions de chiens sont élevés dans 17 000 élevages de viande canine chaque année en Corée du Sud.
  • La vie des chiens dans ces élevages est misérable. Ils sont entassés dans de minuscules cages sales, exposés aux éléments extérieurs, se trouvent dans un environnement non stimulant et reçoivent très peu de nourriture et de soins tout au long de leur vie.
  • La plupart des résidents de Corée du Sud ne mangent pas régulièrement de la viande de chien. De fait, l’opposition à la consommation de chien est grandissante au sein de la population coréenne.
  • Tandis que certains éleveurs très âgés avec qui HSI a travaillé choisissent de partir à la retraite, d’autres travaillent avec HSI afin de concevoir un plan commercial pour effectuer une transition vers des moyens de subsistance alternatifs et plus humains, tels que la distribution d’eau ou la culture du bleuet.
  • Il est estimé que 30 millions de chiens sont tués brutalement et mangés chaque année dans des régions d’Asie. Hong Kong, les Phillipines, Taïwan, la Thaïlande et Singapour ont mis des lois en place pour interdire le commerce de la viande canine, au nom du bien-être des animaux et de la santé et la prévention des maladies de l’homme.

Jusqu’à aujourd’hui, HSI a fait fermer 11 élevages de viande canine et a sauvé près de 1300 chiens d’un destin horrible dans le commerce de la viande de chien..

Ce sauvetage est une entreprise énorme et n’aurait pas été possible sans le soutien incroyablement généreux de la Fondation de la famille Eric S. Margolis. Nous remercions également Friends of HSI, Sharp Transportation, notre supporteur Barbara Elliott et C.E.S. Inc., notre incroyable personnel de refuge et nos bénévoles, ainsi que Mondou pour le don de nourriture pour chiens spécialisée.

Cliquez ici pour télécharger les photos en haute résolution. Pour les demandes d’entrevue ou d’informations, utilisez le numéro de téléphone ou l’adresse électronique ci-dessous.

Contact média: Christopher Paré – b: 514 395-2914 x 206, c: 438 402-0643, cpare@hsi.org

Après leur arrivée à Toronto, les chiens sont maintenant en route pour trouver des familles pour la vie

Humane Society International


  • Ready to leave the farm. Michael Bernard/HSI Canada

  • A dog already getting comfortable with an HSI/Canada rescuer. Michael Bernard/HSI Canada

  • Ready for their rescue. Michael Bernard/HSI Canada

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Suite à la dixième fermeture d’un élevage de viande canine en Corée du Sud, la Humane Society International transporte plus de 170 chiens sévèrement maltraités en Amérique du Nord et au Royaume-Uni pour qu’ils soient adoptés. Quarante-six chiens sont arrivés à l’aéroport Pearson et sont en train d’être remis à des SPCA et à des partenaires SPA au Québec. Quatre autres chiens secourus arriveront demain et seront placés dans un groupe de sauvetage en Ontario.

Ewa Demianowicz, responsable de campagne pour la HSI/Canada, a déclaré : « Je viens de rentrer de Corée du Sud et les conditions dans cet élevage de viande canine étaient épouvantables. Ces pauvres chiens étaient étroitement confinés dans des cages en fil de fer, avec peu de nourriture et d’eau et sans protection contre les éléments. Des chiennes y ont vécu pendant des années, forcées à se reproduire et donner naissance à de nombreux chiots, dans le but ultime de les voler pour les abattre. Les chiens sont décharnés et leurs corps sont couverts de plaies ouvertes. Ils ont un besoin urgent de soins vétérinaires, d’alimentation convenable et d’amour. Nous sommes tellement contents de savoir qu’ils recevront cette attention au Québec et que bon nombre d’entre eux seront accueillis dans leur nouvelle maison à temps pour les fêtes. »

« Pour la deuxième année consécutive, la SPCA de Montréal est très heureuse de soutenir HSI/Canada dans un sauvetage important. Notre équipe a très hâte de rencontrer les chiens et de leur fournir tous les soins et l’attention personnelle dont ils ont besoin. Nous sommes soulagés de savoir qu’ils seront bientôt placés dans des foyers chaleureux, où ils auront la chance d’avoir une vie heureuse et saine, » déclare Élise Desaulniers, directrice exécutive de la SPCA de Montréal. Les chiens seront installés à la SPCA de Montréal où des spécialistes du comportement canin, des vétérinaires et des bénévoles s’occuperont d’eux. Plusieurs des chiens sont timides et auront besoin d’une famille adoptive patiente et calme pour les aider à s’adapter à leur nouvelle vie. Ils seront prêts à être adoptés le 18 décembre à midi. »

Marie-Josée Roy, Directrice générale – Société Protectrice des animaux d’Arthabaska: « Ce sera très émouvant et enrichissant de faire une différence dans la vie de ces chiens, de les soigner et de les préparer à une belle nouvelle vie. De leur trouver des familles adaptées pour le reste de leur vie. Participer avec une organisation internationale pour sauver des animaux nous permet de faire notre part de notre région. Réalisons notre mission pour eux! »

Corinne Gonzalez, Directrice générale – SPCA Laurentides-Labelle : « Nous sommes émus d’être partenaire de ce sauvetage en donnant le droit à la vie pour ces chiens négligés. Nous sommes sûrs de trouver une famille aimante et adaptée à leurs besoins particuliers. »

Le commerce de la viande de chien est principalement répandu en Chine, en Corée du Sud, dans les Philippines, en Thaïlande, au Laos, au Viêt Nam, au Cambodge et au Nagaland dans le nord de l’Inde. Il est bien organisé. Les chiens sont volés ou pris dans les rues pour être ensuite transportés dans des régions éloignées et brutalement massacrés. En Corée du Sud, on estime que 2,5 millions de chiens sont abattus dans des conditions atroces pour faire commerce de leur viande.

Dans le cadre de notre campagne pour interdire le commerce de la viande de chien en Corée du Sud, la HSI travaille pour aider les éleveurs de chiens à se tourner vers des secteurs moins cruels et à transporter les chiens vers des régions où ils peuvent être soignés et adoptés.

Nous tenons spécialement à remercier Eric Margolis, Étienne Borgeat et les amis de la HSI pour leur contribution extraordinaire à ce sauvetage, Sharp Transportation pour avoir fourni gracieusement de l’espace pour un abri temporaire, et Kane Veterinary Supplies pour leur don de nourriture pour chiens. Nous sommes profondément reconnaissants envers les travailleurs et les bénévoles de notre abri temporaire, et envers la SPCA de Montréal, la SPCA de Laurentides-Labelle, la Société d’Arthabaska pour la protection des animaux et Carter’s Forever Rescue and Sanctuary à Muskoka pour leur aide précieuse avec le placement minutieux de ces chiens qui le méritent dans des familles pour la vie.

Contact pour les médias : Christopher Paré, 514 395-2914 x 206, cpare@hsi.org

Humane Society International/Canada et Chiots nordiques organiseront une vaste initiative de stérilisation pour contrer la surpopulation canine

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  • Un vétérinaire soigne un chien à Manawan en février 2014, lors de la dernière visite de HSI/Canada et de Chiots Nordiques dans la communauté. Michael Bernard/HSI Canada

Humane Society International/Canada et Chiots Nordiques sont en route vers Manawan (Québec) pour mettre sur pied une clinique de stérilisation de masse des chiens errants. C’est la deuxième fois que l’équipe visite cette communauté atikamekw.

« Nous sommes ravis de retourner à Manawan et d’y offrir des soins vétérinaires essentiels à la communauté, a déclaré Ewa Demianowicz, responsable de campagne sénior chez HSI/Canada. Nous avons vu de nos propres yeux les effets négatifs de la surpopulation canine quand nous avons visité la région en 2014. Les animaux étaient émaciés et peinaient à survivre, et les gens qui en prennent soin avaient désespérément besoin d’aide. En y retournant cette année, nous offrons un soutien continu pour maintenir une saine population de chiens dans la communauté. »

Devenez défenseur de tous les animaux dès aujourd’hui.

 « Notre équipe de bénévoles est prête et très heureuse d’aider Manawan à contrôler sa population de chiens errants, a ajouté Éric Coïa, président de Chiots nordiques. Nous mettrons sur pied une clinique temporaire de trois jours et y stériliserons des chiens du matin au soir. Notre objectif est de traiter presque tous les chiens de la région pour nous assurer d’avoir le plus grand impact possible. Nous sommes extrêmement reconnaissants de l’aide de HSI/Canada dans la prestation de ces services essentiels à des communautés éloignées comme Manawan. »

Les chiens occupent une place importante dans les communautés des Premières Nations, mais l’accès limité à des services vétérinaires dans ces régions a conduit à une surpopulation de chiens errants et négligés. La stérilisation de masse est une méthode efficace et humaine pour faire face à la crise de surpopulation canine à laquelle ces communautés sont confrontées. Ces cliniques ne font pas qu’aider des animaux dans le besoin : elles contribuent aussi à leur essor en réduisant le nombre de morsures de chien et de zoonose.

Contact médias : Christopher Paré, 514-395-2914 x 206, cpare@hsi.org

La Loi S-214, soutenue par Humane Society International et l’Alliance animale du Canada, retournera à la chambre du Sénat pour une troisième lecture

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  • AHWLA

Le Comité sénatorial des affaires sociales, des sciences et de la technologie a fait un immense pas en avant la nuit dernière en votant à l’unanimité en faveur de la Loi sur les cosmétiques sans cruauté (S-214). La loi proposée sera maintenant débattue au Sénat canadien avant un vote final. Si la loi passe cette étape, elle se rendra à la Chambre des communes. Les sénateurs ont modifié la loi au sein du comité pour y ajouter une période de transition afin que les entreprises s’adaptent à la législation.

Troy Seidle, directeur principal de la recherche et de la toxicologie de HSI, a annoncé :

« Les essais cosmétiques sur les animaux sont une pratique dépassée et superflue qui n’a pas sa place dans une société moderne et progressiste. Pour cette raison, 37 pays, dont les plus grands marchés de cosmétiques mondiaux, ont réagi pour interdire ou limiter le commerce de cosmétiques testés sur les animaux. Cependant, ici au Canada, il est toujours parfaitement légal de mettre des gouttes de produits chimiques dans les yeux des lapins et d’en étaler sur leur peau fragile, le tout pour le bien d’un nouveau rouge à lèvres ou d’une crème. Nous appelons le Sénat canadien à faire passer la loi S-214 et la Chambre des communes à agir rapidement pour adopter cette législation qui sauvera des vies. »

« L’Alliance animale et HSI ont commandité un sondage qui a montré que 81 % des Canadiens soutiennent une interdiction nationale des essais cosmétiques sur les animaux, » a annoncé Liz White, la directrice de l’Alliance animale du Canada. « La décision d’aujourd’hui représente un grand pas en avant vers le respect de l’opinion des Canadiens et l’amélioration de nos normes industrielles pour les aligner avec celles des autres pays développés. »

Contact média : Christopher Paré – 514 395-2914, cpare@hsi.org

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MONTRÉAL—Le Bureau du coroner du Québec a publié son rapport sur la mort de Christine Vadnais, attaquée en 2016 par un chien faussement identifié comme un pitbull dans les médias.

À la suite de cet événement tragique, la Ville de Montréal et d’autres municipalités ont pris des mesures en vue d’interdire les chiens de type pitbull, tandis que la province de Québec a présenté le projet de loi 128 visant également à interdire certaines races de chien dans toute la province. Le coroner, Dr Ethan Lichtblau, conclut dans son rapport que :

  • le chien qui a attaqué Mme Vadnais ne peut être formellement identifié comme un pitbull malgré les résultats du test d’ADN;
  • un manque de socialisation, de stimulation, et de plusieurs soins de bases sont les facteurs qui ont probablement conduit au comportement dangereux du chien;
  • la législation visant des races particulières (LRP) n’est pas une mesure efficace pour protéger le public.
  • Ewa Demianowicz, responsable de campagne chez Humane Society International/Canada, a fait la déclaration suivante :

    Aidez-nous à dire non aux lois spécifiques aux races au Québec.

    « Dès le départ, nous avons averti la Ville de Montréal qu’interdire certaines races de chien n’est pas une mesure efficace pour éviter les morsures. Pourtant, nos représentants élus ont choisi d’ignorer des données scientifiques solides et l’avis de plusieurs experts en adoptant une interdiction insensée des pitbulls et des chiens de type pitbull. Le rapport du coroner est le plus récent d’une longue liste de témoignages d’experts et d’études qui concluent qu’une gestion responsable des animaux devrait tendre à éviter les lois visant des races particulières et porter plutôt sur une meilleure éducation du public, l’application des règlements et la responsabilisation des propriétaires. »

    Il est absolument déchirant de lire dans le rapport que ce tragique événement aurait pu être évité si seulement la municipalité avait assuré un suivi sur les incidents de morsures précédents impliquant le même chien. L’inaction des autorités et la non-application des règlements déjà en vigueur ont contribué à ce que survienne ce tragique événement, mais nos gouvernements continuent malheureusement de se servir des pitbulls comme boucs émissaires. De plus, le fait que le chien en question ait été négligé et maltraité ne fait que souligner l’importance de responsabiliser les propriétaires de chiens.

    Comme l’indique le rapport, la Ville de Calgary, qui a adopté une approche fondée sur la responsabilisation des propriétaires, a réussi à réduire de 78 % le nombre d’incidents impliquant des chiens sans recourir à l’interdiction de certaines races. Cette approche a fait ses preuves et devrait servir de modèle pour tous les gouvernements du pays.

    Nous espérons que les conclusions du coroner nous permettront d’adopter des lois plus humaines, efficaces et applicables et qui protégeront réellement le public. Nous appelons la Ville de Montréal à abroger sa législation visant des races particulières.

    Les faits :

    • Le coroner a fait plusieurs recommandations suivant ses conclusions, portant surtout sur la création d’une base de données centralisée des rapports d’incidents impliquant des chiens, l’enregistrement des chiens auprès des municipalités, l’adoption de mesures pour augmenter les taux de stérilisation des chiens et la définition de moyens objectifs et équitables pour déclarer un chien comme étant « dangereux », et en mettant l’accent sur la sensibilisation et l’éducation du public.
    • Aucune donnée n’indique que les lois visant des races particulières réduisent le nombre de morsures ou d’attaques de chien, et aucune juridiction n’a pu montrer que ce type de lois améliore la sécurité publique. Après plus de 10 ans d’interdiction de certaines races en Ontario, le nombre de morsures de chien est plus élevé que jamais. Ces lois sont coûteuses, ne peuvent être appliquées efficacement et causent inutilement du tort aux familles, aux chiens et aux collectivités.
    • La meilleure façon d’éviter les morsures de chien est la sensibilisation proactive de tous les secteurs de la communauté. L’Association canadienne des médecins vétérinaires et l’Ordre des médecins vétérinaires du Québec ont des énoncés de position clairs à l’encontre de la législation visant des races particulières.
    • Les experts ont systématiquement montré qu’aucune race n’est plus susceptible de mordre qu’une autre. Les facteurs étant scientifiquement liés à l’agressivité chez les chiens sont la négligence, la non-stérilisation et le fait qu’ils soient victimes de violence; des lois efficaces pour assurer la sécurité publique se concentrent sur ces aspects plutôt que sur l’interdiction inefficace et dommageable de certaines races.
    • Dans les trente dernières années, six individus ont été tués par des chiens au Québec. Des huit chiens impliqués dans ces morts, sept étaient de type husky, et la race du chien impliqué dans la mort d’une Montréalaise en 2016 n’a pas été déterminée avec certitude. Notons que les lois interdisant certaines races visent rarement d’autres chiens que ceux de type pitbull.
    • En avril dernier, le gouvernement du Québec a présenté le projet de loi 128, qui lui donnerait de nouveaux pouvoirs pour imposer des restrictions à certains chiens et à leurs propriétaires ainsi que l’interdiction de certaines races. La loi proposée vise spécifiquement les chiens de type pitbull et les rottweilers, ainsi que les chiens croisés avec ces races. Le projet de loi n’a pas encore été adopté.

    L’icône de la mode et récipiendaire de l’Ordre du Canada soutient la Loi sur les cosmétiques sans cruauté (S-214)

    Humane Society International


    • Jeanne Beker. Gabor Jurina.

    La journaliste de mode, auteure et chroniqueuse Jeanne Beker appelle le Canada à interdire les essais sur les animaux dans le secteur cosmétique. L’icône canadienne de la mode et des médias appelle à la fin des essais cosmétiques cruels sur les animaux au nom de la campagne #NonÀlaCruauté Canada, menée par Humane Society International et l’Alliance animale du Canada, qui fait partie de la plus grande campagne mondiale jamais organisée.

    Au sujet de son engagement, Beker a déclaré : « Le mauvais traitement des animaux n’a rien à faire dans le monde de la mode. Les essais cosmétiques sur les animaux sont une pratique insensée qui n’a pas sa place dans une nation humaine. C’est pourquoi 37 pays ont déjà réagi pour mettre fin aux tests cosmétiques sur les animaux. Je suis reconnaissante envers le Sénat canadien qui prend en considération cette question importante et j’appelle le gouvernement du Canada à faire passer une interdiction stricte des essais cosmétiques sur les animaux et de produits testés sur des animaux. Il est temps que le Canada dise #NonÀlaCruauté ! »

    La plupart des Canadiennes et des Canadiens partagent les sentiments de Beker sur les essais cosmétiques sur les animaux. Le soutien du public envers l’interdiction des essais cosmétiques sur les animaux est important, au Canada comme dans le reste du monde. Un sondage de 2013 indique que 8 répondants canadiens sur 10 sont opposés aux essais sur les animaux, quel qu’en soit le but. Des sondages réalisés par HSI et par nos partenaires #NonÀlaCruauté sur d’autres marchés cosmétiques majeurs montrent une opposition similaire aux essais de cosmétiques ou de leurs ingrédients sur les animaux.

    Dans les laboratoires autour du Canada, les animaux souffrent et meurent à cause d’essais de toxicité pour des produits chimiques qui se retrouvent dans le mascara, le rouge à lèvres et les autres cosmétiques. Des lapins terrifiés reçoivent des gouttes de produits chimiques dans les yeux, les souris sont forcées à avaler des substances et les cochons d’Inde doivent supporter des ingrédients étalés sur leur peau nue, préalablement rasée.

    Troy Seidle, directeur principal de la recherche et de la toxicologie de HSI, explique : « Les essais cosmétiques sur les animaux sont une pratique en voie de disparition. De plus en plus de pays les interdisent, car ils sont cruels, peu fiables et complètement inutiles. Trente-sept pays, dont l’Union européenne, le plus grand marché de cosmétiques au monde, ont interdit les essais cosmétiques sur les animaux. Il est temps que le Canada se mette à jour et interdise les essais cosmétiques cruels sur les animaux. »

    La campagne #NonÀlaCruauté, menée par HSI et ses partenaires, a joué un rôle majeur dans l’instauration de nombreuses interdictions nationales en place aujourd’hui. Des lois existent actuellement pour interdire ou limiter les essais cosmétiques sur les animaux ou la vente de produits issus de ces tests dans les 28 États membres de l’Union européenne, en Inde, en Israël, en Nouvelle-Zélande, en Norvège, en Corée du Sud, en Suisse, à Taiwan, en Turquie et au Guatemala. Des lois similaires sont en cours de débat en Australie, au Brésil, au Chili, aux États-Unis ainsi que dans d’autres pays.

    Contact média : Christopher Paré – 514 395-2914, cpare@hsi.org

    La ville accordera un délai supplémentaire à plus de 500 familles propriétaires de chiens menacées par une lettre de la Ville.

    Humane Society International


    • DemureDragonfly/istock

    MONTRÉAL—La Ville de Montréal accorde une extension aux familles avec des chiens touchés par son règlement discriminatoire sur les chiens. La décision fait suite à une récente contestation judiciaire contre la municipalité sur un avis envoyé à 520 propriétaires leur ordonnant de se départir de leurs chiens en raison de demandes de permis incomplètes. Ces personnes pourront maintenant déposer une demande dans les prochains mois pour un permis spécial qui leur permettra de garder leurs chiens.

    Ewa Demianowicz, responsable de campagne chez Humane Society International/Canada, a déclaré :

    « Nous sommes très heureux qu’il reste un espoir pour les familles menacées de voir leurs chiens innocents saisis par la ville. Cependant, nous n’oublions pas à quel point ce règlement est problématique, arbitraire et dangereux. De nombreux chiens seront condamnés si cette interdiction de race reste en vigueur. Il est inacceptable que la Ville de Montréal utilise des chiens innocents comme boucs émissaires pour masquer son échec à protéger la population. Non seulement la Ville déchire inutilement des familles en visant des chiens qui n’ont aucun antécédent de comportement dangereux, mais elle gaspille aussi l’argent des contribuables en défendant un règlement assurément voué à l’échec.

    Aidez-nous à dire non aux lois spécifiques aux races au Québec

    La législation visant des races particulières (LRP) est une tendance en déclin, car elle est inefficace, inapplicable, coûteuse et mène à des euthanasies inutiles. Aux États-Unis, 21 États ont interdit les LRP et des centaines de municipalités d’Amérique du Nord ont révoqué de tels règlements. Récemment, la ville de Châteauguay a renversé une interdiction des pitbulls qui était en place depuis 30 ans.

    Si la Ville de Montréal souhaitait réellement améliorer la sécurité publique, elle prendrait modèle sur Calgary : les incidents causés par des chiens ont baissé de 78 %, sans interdire aucune race. Au lieu de cela, nos représentants élus se servent sans scrupules de propos alarmistes et de l’hystérie pour s’attaquer à des animaux inoffensifs. »

    Les faits :

    • Il n’existe aucune preuve du fait que les lois qui ciblent certaines races réduisent les morsures de chien ou les attaques sur les personnes, et aucune juridiction n’a été en mesure de prouver que ce genre de loi avait amélioré la sécurité publique. Après plus de 10 ans de LSR en vigueur en Ontario, le taux de morsures de chien n’a jamais été aussi élevé. Ces lois coûtent cher, ne peuvent pas être appliquées de façon efficace, et causent des souffrances inutiles aux familles, aux chiens et à des communautés entières.
    • Parce qu’il est impossible d’identifier clairement un chien de type pitbull, ce règlement montréalais signifie que tous les gros chiens risquent d’être saisis et euthanasiés, à la discrétion des agents chargés de faire appliquer cette loi. Ce règlement interdit tous les Staffordshire-bull-terrier, les American Pit Bull Terrier, les American Staffordshire terriers, tout chien croisé avec l’une de ces races, ou tout chien présentant des caractéristiques propres à l’une de ces races. Cependant, la ville n’est toujours pas en mesure d’expliquer aux citoyens comment savoir si leur chien présente des “caractéristiques morpholigiques” similaires aux chiens de type pitbull ni comment contester l’appartenance de leur chien à cette race en cas de désaccord.
    • Le chien impliqué dans la mort d’une femme à Montréal cette année était enregistré en tant que boxer. De plus, le chien s’était montré agressif à au moins deux autres occasions, mais la ville n’avait pris aucune mesure en vertu du règlement alors en vigueur.
    • La meilleure façon d’empêcher les morsures de chien est de mettre en place une approche proactive dans tous les secteurs de la communauté. L’Association canadienne des médecins vétérinaires et l’Ordre des médecins vétérinaires du Québec se sont clairement prononcés contre une législation visant certaines races.
    • Les experts ont constaté qu’aucune race n’est plus susceptible de mordre qu’une autre. Il existe des facteurs qui sont scientifiquement liés aux agressions chez les chiens. Parmi eux, on relève la négligence, la maltraitance et l’absence de stérilisation. Une législation efficace pour la sécurité publique devrait donc se concentrer sur ces facteurs plutôt que sur des interdictions de races cruelles et inutiles..
    • Au cours des trente dernières années, six personnes ont été tuées par des chiens au Québec. Dans les huit chiens impliqués dans ces attaques fatales, sept étaient de type husky, et la race du chien impliqué dans l’attaque d’une Montréalaise en 2016 n’a pas pu être identifiée avec certitude. Il semblerait que les législations visant une race précise ciblent rarement d’autres races que le type pitbull.
    • La SPCA de Montréal estime que, rien que dans leur refuge, entre 300 et 700 chiens sans problème de santé ou de comportement auraient été ciblés par cette législation si elle avait été en vigueur en 2016.
    • En avril 2017, le gouvernement du Québec a présenté le projet de loi 128, qui donne au gouvernement des nouveaux pouvoirs d’imposer des restrictions sur certains chiens et leurs gardiens, incluant l’interdiction de certaines races de chiens. Le projet de loi vise les chiens de type pitbull et les Rottweilers, ainsi que les croisements de ceux-ci. Ce projet de loi n’a pas encore été adopté.

    Contact média :Christopher Paré – b: 514 395-2914, c: 438 402-0643, cpare@hsi.org

    Humane Society International


    • Matt Shetzer/iStockphoto

    Montréal—Le gouvernement de la Colombie-Britannique a interdit la chasse au trophée du grizzli dans toute la province, ainsi que la chasse au grizzli en général dans la Forêt pluviale de Great Bear. La nouvelle a été annoncée lundi et fait suite à un engagement pris l’année dernière par le nouveau Parti démocratique de la Colombie-Britannique de mettre fin à la chasse au trophée des grizzlis s’il était élu.

    Rebecca Aldworth, la directrice de Humane Society International/Canada, a fait la déclaration suivante pour saluer cette interdiction :

    « La chasse au trophée est une activité sanguinaire scandaleuse et contraire aux valeurs canadiennes. L’interdiction de la chasse au trophée des grizzlis annoncée lundi par le gouvernement britanno-colombien est une avancée majeure dans la protection de ces animaux majestueux contre une cruauté gratuite. Cette décision est également en accord avec l’opinion de l’immense majorité des résidents de la C.-B., y compris les Premières Nations de la côte. De nombreux éléments de cette mesure doivent encore être clarifiés et nous apprécions l’opportunité de travailler avec le gouvernement provincial pour nous assurer que les grizzlis sont réellement protégés de la chasse au trophée sous toutes ses formes. La saison de chasse de cet automne approche et il est urgent de promulguer cette interdiction. ».

    HSI/Canada fait campagne pour mettre fin à la chasse au trophée du grizzli en C.-B. depuis plus de dix ans. Partout, HSI est en première ligne d’un mouvement pour l’arrêt définitif de la chasse au trophée en bloquant le commerce des trophées de chasse, en renforçant la protection juridique des animaux sauvages et en informant le public des effets dévastateurs de la chasse au trophée.

    Les faits :

    • Les chasseurs de trophées tuent des centaines de grizzlis chaque année en Colombie-Britannique.
    • La chasse au trophée a pour conséquence des taux élevés de blessures, des animaux sauvages sont souvent abandonnés à leurs souffrances pendant de longues périodes avant d’être retrouvés par des chasseurs.
    • Un sondage de l’opinion publique révèle que plus de 90 % des résidents de la C.-B. sont contre la chasse au trophée.
    • Les grizzlis sont considérés comme une espèce « préoccupante » par le Comité sur la situation des espèces en péril au Canada..
    • Une étude de 2013 publiée par la Bibliothèque scientifique fédérale a découvert que la chasse au trophée pourrait être une cause du déclin des populations d’ours et que les chasseurs dépassaient les quotas fixés par le gouvernement dans la moitié des populations étudiées.
    • D’autres études indépendantes ont montré que les estimations du précédent gouvernement concernant la population d’ours de la C.-B étaient trop hautes et qu’en réalité, les populations sont trop basses pour pouvoir supporter les niveaux de chasse actuels.
    • Une étude de 2012, menée par le Center for Responsible Travel (centre pour le voyage responsable) et l’université de Stanford, montre que les entreprises d’observation des ours dans la Forêt pluviale de Great Bear en C.-B. génèrent 12 fois plus de dépenses par les visiteurs que la chasse à l’ours.

    Contact média : Christopher Paré – 514 395-2914, cpare@hsi.org

    Ces chiens terrifiés seront accueillis dans des refuges aux États-Unis

    Humane Society International


    En pleine saison estivale, à l’occasion du Bok Nal en Corée du Sud où plus d’un million de chiens sont tués pour leur viande, l’équipe de sauvetage des animaux de Humane Society International/Canada est sur place pour porter secours à 149 chiens et chiots provenant d’une ferme de viande de chien dans le district de Yesan, dans la province du Chungcheong du Sud.

    Ces chiens seront transférés par avion dans des refuges pour animaux aux États-Unis dans les États de la Floride, de l’Illinois, de l’Indiana, du New Jersey, de la Pennsylvanie et du Wisconsin afin de leur trouver une nouvelle famille pour la vie. Quinze petits chiots, trop jeunes pour prendre l’avion, resteront avec leur mère dans une famille d’accueil jusqu’à ce qu’ils puissent voyager aux États-Unis.  

    Il s’agit de la neuvième ferme de viande de chien que Humane Society International/Canada fait fermer de façon permanente depuis 2014, ce qui a permis de sauver et de faire adopter près de 1000 chiens. Ceci a été rendu possible grâce à la coopération de certains éleveurs désireux de sortir de ce marché. HSI a aidé ces éleveurs à développer de nouveaux moyens de subsistance sans cruauté, comme l’implantation de cultures de piments et autres cultures, ou la distribution d’eau.

    La fermeture de ces élevages et le sauvetage des animaux font partie de la stratégie globale de HSI/Canada visant à encourager le gouvernement de la Corée du Sud à mettre fin à la cruelle industrie de la viande de chien.
    Ewa Demianowicz, responsable de campagne pour HSI/Canada, qui fait partie du voyage à Yesan pour contribuer au sauvetage, a déclaré : « En fermant chacun de ces élevages, nous ne faisons pas que sauver la vie de ces pauvres chiens terrifiés, nous dévoilons également au grand jour la cruauté de ce commerce et suscitons une prise de conscience chez le public. Les chiens de ces élevages souffrent terriblement : ils vivent dans leurs propres excréments et ils sont extrêmement amaigris. Nombre d’entre eux souffrent d’infections oculaires, de plaies ouvertes et de malformations des pattes causées par des carences nutritionnelles et par les cages en métal dans lesquelles ils vivent. »

    En Corée du Sud, plus de 2,5 millions de chiens sont élevés chaque année pour leur viande dans des milliers de fermes. L’opposition à ce commerce est grandissante parmi la population et les politiciens coréens, et même Moon Jae-in, récemment élu président, a adopté un chien sauvé d’une de ces fermes.

    Nara Kim, militante HSI contre la viande de chien en Corée du Sud, a ajouté : « Certaines personnes disent que manger du chien fait partie de la culture coréenne, mais peu de jeunes pensent que c’est une tradition culturelle à perpétuer. C’est une paresse intellectuelle d’utiliser la culture comme une excuse pour la cruauté, car toutes les cultures évoluent dans le temps et nous laissons souvent tomber des pratiques du passé. Nous espérons que les choses vont changer, et que le nouveau président coréen mettra en avant une nouvelle culture de compassion pour les animaux. Je suis très heureuse que le commerce de la viande de chien soit terminé pour ces chiens, mais nous devons continuer de nous battre pour les millions de chiens qui continuent de souffrir. »

    Pour voir les photos et vidéos, cliquez ici.

    Les faits :       

    • Les jours de Bok Nal ne sont pas un festival ou un évènement isolé, mais ils ont lieu durant les trois jours les plus chauds de l’été selon le calendrier lunaire, soit le 12 juillet (Cho Bok), le 22 juillet (Jung Bok) et le 11 août (Mal Bok).
    • C’est au cours des jours de Bok Nal que 70 à 80 % de la viande de chien est consommée en Corée du Sud, principalement sous forme de potage épicé appelé bosintang qui, selon certaines croyances, améliorerait l’endurance et la virilité.
    • La plupart des Sud-Coréens n’ont jamais visité une ferme de viande de chien et ne sont pas pas conscients des souffrances endurées par les chiens. HSI souhaite effacer cette fausse idée largement répandue selon laquelle les chiens de cette industrie sont différents des chiens de compagnie.
    • En plus d’une vie de souffrance dans ces fermes, ces chiens subissent une mort brutale : la mort par électrocution est la plus courante. Les chiens agonisent généralement jusqu’à cinq minutes avant de mourir, voire 20 minutes dans certains cas. La pendaison est aussi fréquente. Les chiens sont tués sous les yeux des autres chiens, et leurs derniers moments sont terrifiants et très douloureux.
    • L’industrie de la viande de chien profite d’un vide juridique en Corée du Sud, où elle n’est ni légale ni illégale. Nombre de dispositions de la loi sur la protection des animaux sont systématiquement enfreintes, comme l’interdiction de tuer des animaux de manière brutale telle que la pendaison par le cou, dans des lieux publics ou devant d’autres animaux de la même espèce.
    • En Chine, au Vietnam, dans l’État de Nagaland en Inde et dans d’autres régions d’Asie, environ 30 millions de chiens sont brutalement tués et mangés chaque année. Cependant, Hong Kong, les Philippines, Taïwan, la Thaïlande et Singapour ont des interdictions en vigueur sur la viande de chien.
    • À chaque fermeture d’une ferme de viande de chien, HSI effectue un test vétérinaire pour détecter la présence du virus H3N2 ou de la grippe canine au moment d’administrer le vaccin DHPP et les vaccins contre la rage et contre le coronavirus. Puis, HSI place les chiens en quarantaine à même l’élevage ou dans un refuge temporaire, sans entrée ni sortie de chien pendant au moins 30 jours avant de les transporter aux États-Unis.

    Pour plus d’informations à ce sujet, rendez-vous sur hsi.org/dogmeat

    Contact média: Christopher Paré – b: 514 395-2914, c: 438 402-0643, cpare@hsi.org  

    188 animaux ont reçu des soins vétérinaires essentiels

    Humane Society International


    • Kristin Lamy/HSI

    • Kristin Lamy/HSI

    • Kristin Lamy/HSI

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    MONTRÉAL—Humane Society International/Canada et Chiots Nordiques viennent de terminer leur 10e clinique de stérilisation de masse dans la communauté Atikamekw de Wemotaci au Québec. Grâce à la mise en place de cette clinique de stérilisation temporaire, 113 animaux ont été stérilisés et un total de 188 animaux ont reçu des soins vétérinaires essentiels, tel que la vaccination.

    Ewa Demianowicz, reponsable de campagne, a déclaré : « Wemotaci fut la première communauté visitée par HSI/Canada et Chiots Nordiques en 2013, lorsque nous avons uni nos forces pour offrir des services vétérinaires essentiels aux régions éloignées du Québec. Il nous a fait chaud au cœur de pouvoir y revenir et de constater une incroyable amélioration quant au bien-être de la population humaine de Wemotaci et de ses animaux. C’est inspirant de voir que cette communauté s’est engagée à gérer la population canine de manière humaine et à assurer le bien-être des animaux. »

    Devenez défenseur des animaux.

    Éric Coïa, président de Chiots Nordiques, a ajouté : « Nous étions ravis d’être de retour à Wemotaci, dans une communauté qui aime ses animaux, mais qui n’a malheureusement pas accès à des services vétérinaires. Avec une équipe de 20 bénévoles, nous avons voyagé six heures pour nous y rendre et pour mettre en place une clinique temporaire de 3 jours. La communauté était extrêmement reconnaissante de notre présence, et nous étions heureux de pouvoir les aider à gérer la surpopulation canine de manière humaine. »

    Les chiens occupent une place importante parmi les communautés des Premières Nations. Cependant, le manque d’accès à des services vétérinaires dans ces zones a causé des problèmes d’abandon et de surpopulation de chiens errants. La stérilisation de masse est une méthode efficace et humaine pour contrôler les problèmes de surpopulation canine que rencontrent ces communautés. En plus de venir en aide aux animaux dans le besoin, ces cliniques rendent aussi service aux communautés en réduisant le nombre de blessures causées par les morsures de chiens et les maladies zoonotiques.

    La mort tragique d’une femme à Little Grand Rapids au Manitoba, souligne l’urgence de gérer la population canine afin de garantir des interactions harmonieuses entre les chiens et les hommes. Veuillez lire notre communiqué ici.

    Pour télécharger des photos en haute résolution de la clinique de Wemotaci, cliquez ici; veuillez ensuite créer un compte en cliquant sur « create account » situé en haut de la page.

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    Contact média: Christopher Paré – b: 514 395-2914 x 206, c: 438 402-0643 cpare@hsi.org

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