Humane Society International/Canada, Coastal First Nations, et des Canadiens à travers le pays célèbrent l’arrivée à mi-chemin de la campagne canadienne #VidezLesReservoirs

Humane Society International


OTTAWA—Le Canada est arrivé à la moitié de sa campagne pour l’interdiction du maintien en captivité des baleines et des dauphins au Canada avec la majorité des sénateurs votant en faveur du projet de loi S-203 : Loi visant à mettre fin à la captivité des baleines et des dauphins. Cette loi interdirait la captivité des baleines et des dauphins à des fins de divertissement, de programmes de reproduction en captivité et de commerce.

« Le projet de loi S-203 établira clairement que nous avons l’obligation morale d’arrêter progressivement de capturer des cétacés et de les garder en captivité pour notre profit ou notre amusement. Grâce à ce projet de loi, le Canada se joindra aux autres pays qui ont déjà interdit la mise en captivité des cétacés, » a déclaré le sénateur Murray Sinclair, qui parraine le projet de loi, dans son discours au Sénat. « En ce qui concerne nos relations avec les animaux et les responsabilités que nous avons envers eux, les mentalités évoluent. Les Canadiens nous demandent d’améliorer les choses. »

« Les spécialistes des sciences de la mer s’accordent à dire que les baleines, les dauphins et les marsouins – appelés cétacés – subissent de sévères privations, des maladies et souffrent de dépression lorsqu’ils sont gardés en captivité, » a expliqué Julie MacInnes, responsable de campagne de la faune sauvage pour HSI/Canada. « Nous remercions les sénateurs Wilfred Moore et Murray Sinclair d’avoir tenu des rôles majeurs dans la réussite de cette étape importante. Il n’est pas éthique de soumettre ces espèces sensibles et sociables à de telles privations dans le seul but de divertir un public. Ce projet de loi marque un tournant dans la lutte pour rendre aux baleines et aux dauphins le respect et la dignité qu’ils méritent. »

Le spécialiste des sciences de la mer Hal Whitehead a ajouté : « Un banc de dauphins sauvages au caractère extrêmement social peut voyager jusqu’à 100 kilomètres par jour en milieu océanique, et plonger sur plusieurs centaines de mètres. Les conditions de vie en captivité des mammifères marins n’ont rien de comparable à leur environnement océanique naturel, que ce soit en taille ou en qualité. Nous demandons au gouvernement fédéral de soutenir le projet de loi S-203 afin que nos lois soient compatibles avec les valeurs des Canadiens et que cette pratique cruelle prenne fin. »

« Coastal First Nations, les Premières Nations présentes le long de la majorité de la côte pacifique du Canada, entretiennent une relation spéciale et précieuse avec les cétacés et elles ont le devoir de les protéger, » a déclaré Paul Kariya, conseiller principal en politique auprès de Coastal First Nations. « Notre expérience dans la planification des espaces maritimes, la gestion basée sur les écosystèmes et la mise en place de postes d’observation des baleines et d’entreprises de tourisme écologique nous offre une vision alternative intéressante des façons plus respectueuses d’apprécier et de cohabiter avec ces animaux sauvages magnifiques ».

Les faits :

  • HSI/Canada fait campagne pour interdire la captivité des cétacés depuis plusieurs années. À l’échelle mondiale, HSI a été pionnière d’un mouvement influent visant à protéger les cétacés et à mettre un terme aux pratiques inhumaines de captivité par l’intermédiaire de l’éducation, de la sensibilisation et des mesures législatives.
  • Les plus grands spécialistes des sciences de la mer s’accordent à dire que les baleines et les dauphins endurent d’importantes souffrances psychologiques et des blessures physiques lorsqu’ils sont en captivité, notamment l’isolement, des problèmes de santé chroniques, des comportements anormaux, une forte mortalité des jeunes et un ennui extrême.
  • Actuellement, seulement deux établissements au Canada possèdent encore des cétacés : l’aquarium de Vancouver et Marineland, à Niagara Falls. Cependant, l’aquarium de Vancouver ne détiendra bientôt plus de cétacés en captivité, en raison de l’opinion publique et de l’indignation envers cette pratique.
  • Près de trois quarts des Canadiens ayant une opinion sur la captivité des cétacés désapprouvent cette pratique.

Contact média: Christopher Paré – b: 514 395-2914 x 206, c: 438 402-0643, cpare@hsi.org

Humane Society International/Canada, les spécialistes des sciences de la mer ainsi que la famille du regretté Rob Stewart célèbrent l’arrivée à mi-chemin de la campagne canadienne #SaveSharks

Humane Society International


OTTAWA — Le Canada est arrivé à la moitié de sa campagne en faveur de l’interdiction du commerce d’ailerons de requins avec l’approbation définitive et unanime du projet de loi S-238 : la Loi sur l’interdiction du commerce d’ailerons de requins, par le Sénat. Ce projet de loi a été amendé par le Sénat non seulement pour mettre fin à l’importation d’ailerons de requins au Canada, mais également pour en interdire l’exportation. Le projet de loi va maintenant être examiné par la Chambre des communes.

Le parrain de ce projet au Sénat, le sénateur Michael L. MacDonald, a déclaré : « Je suis ravi que la Loi sur l’interdiction de l’importation et de l’exportation d’ailerons de requins ait été adoptée par mes collègues au Sénat. J’espère sincèrement que les membres du Parlement vont s’occuper rapidement de cette affaire urgente pour s’assurer que le Canada adopte un rôle prépondérant dans la protection des requins, à l’échelle internationale. Cette espèce est vitale pour assurer l’équilibre des écosystèmes océaniques et la survie de notre planète. »

« Couper les ailerons des requins et les jeter dans l’océan tout en sachant qu’ils vont en mourir est un acte de cruauté sans nom qui met en danger des écosystèmes océaniques entiers, » a déclaré Julie Maclnnes, responsable de campagne de la faune sauvage pour HSI/Canada. « Nous remercions le Sénateur pour le rôle clé qu’il a joué dans cette lutte pour la conservation des océans. Ce projet de loi représente une étape importante vers l’arrêt du commerce d’ailerons de requins au Canada, c’est pourquoi nous demandons au gouvernement qu’il soit traité comme une affaire urgente. »

Dr Dirk Steinke, spécialiste des sciences de la mer a déclaré : « Les scientifiques s’accordent à dire que les requins font partie des espèces sauvages les plus menacées au monde. »

Dr Boris Worm, professeur à l’université de Dalhousie a ajouté : « Le commerce d’ailerons de requins est la cause principale de décès chez les requins. Les plus grandes espèces sont tout particulièrement menacées. Nous espérons que le Canada prendra les devants pour mettre un terme au commerce d’ailerons de requins. »

Brian et Sandy Stewart, les parents du regretté Rob Stewart, ont déclaré : « Nous incitons le gouvernement fédéral et les membres du gouvernement à écouter la large majorité de Canadiens en faveur de l’arrêt du commerce d’ailerons de requins au Canada. Toutes les heures, ce macabre commerce international tue 11 000 requins. Ces animaux — et les écosystèmes océaniques qui dépendent d’eux — ne peuvent pas se permettre d’attendre dix ans de plus. »

Faits:

  • Depuis plus de 10 ans, HSI/Canada milite pour mettre fin au commerce d’ailerons de requins. À l’échelle mondiale, HSI se trouve au premier plan d’un mouvement puissant visant à protéger les requins et à mettre un terme au commerce de leurs ailerons par le biais de l’éducation et de mesures législatives.
  • Tous les ans 100 millions de requins sont tués pour satisfaire la demande mondiale pour leurs ailerons et pour les autres parties de leurs corps. Aujourd’hui, un tiers des requins de haute mer sont menacés d’extinction.
  • Le Canada est le pays qui importe le plus d’ailerons de requins hors de l’Asie.
  • En tant que prédateur ultime, les requins contribuent à l’équilibre des océans, leur extinction aurait donc des conséquences importantes sur toutes les autres espèces marines.
  • Les requins grandissent lentement, deviennent adultes à un âge tardif et présentent des taux de reproduction relativement faibles, ce qui rend leur population vulnérable aux effets de la surpêche.

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C’est une annonce sans précédent pour la 2e plus importante entreprise de produits cosmétiques au monde, considérée comme « le début de la fin des cosmétiques cruels »

Humane Society International


  • Dra Schwartz/istock

MONTRÉAL–Le géant des soins personnels Unilever a annoncé ce jour son soutien à la campagne #BeCrueltyFree de Humane Society International, dont l’objectif est d’interdire les expérimentations animales pour les cosmétiques d’ici 5 ans dans le monde entier. Unilever témoigne de son soutien grâce à une ambitieuse nouvelle collaboration qui vise à accélérer l’acceptation réglementaire d’évaluations de sûreté pour le consommateur à la fois modernes et non basées sur les animaux.

Unilever, connue pour ses grandes marques telles que Dove, Degree ou TRESemmé, est la deuxième plus grande entreprise de produits de beauté au monde et la première du top 10 du secteur à soutenir activement une réforme législative visant à interdire les expérimentations sur les animaux pour les cosmétiques. Les organisations espèrent que cette nouvelle collaboration favorisera le changement des politiques du secteur cosmétique mondial, le but étant d’interdire les expérimentations animales sur les 50 plus grands marchés de la beauté au monde d’ici 2023.

Troy Seidle, vice-président du département Recherche et Toxicologie de HSI, déclare : « N’importe quelle entreprise pourra vous dire qu’elle est en faveur d’alternatives aux expérimentations animales pour les cosmétiques, mais Unilever est le premier des géants du secteur à s’impliquer activement dans cette lutte. Alors que des centaines de milliers d’animaux sont toujours utilisés pour des expérimentations sur la toxicité chaque année dans le monde, nous félicitons Unilever qui se joint à Humane Society International pour mettre fin à cette cruauté une bonne fois pour toutes. Nous incitons les autres grandes marques cosmétiques à suivre cet exemple et à nous rejoindre du bon côté de l’Histoire. »

La nouvelle collaboration avec HSI inclura:

  • Le soutien d’Unilever pour l’adoption au Canada de la loi sur les cosmétiques sans cruauté (S-214), qui interdirait les expérimentations animales domestiques ainsi que la vente de cosmétiques ayant été soumis à toute forme d’expérimentations animales une fois l’interdiction en vigueur, en accord avec le précédent établi par l’Union européenne.
  • Une collaboration franche et durable visant à développer le potentiel des entreprises et autorités de régulation afin que les décisions quant à la sûreté des cosmétiques soient basées exclusivement sur des approches non animales.
  • Un investissement dans la formation de futurs scientifiques dans le domaine de la sûreté pour une évaluation des risques « nouvelle génération » et non animale, dans le but de développer leurs compétences sur le long terme.

David Blanchard, agent responsable Recherche et développement pour Unilever, ajoute : « Nous sommes heureux de collaborer avec Humane Society International afin d’en finir avec l’ère des expérimentations animales pour les cosmétiques. Nous encourageons les autres entreprises, régulateurs et autres parties prenantes à se joindre à nous dans cette initiative majeure. »

Des législateurs de 37 pays à travers le monde ont déjà adopté des lois interdisant partiellement ou totalement les expérimentations animales pour les cosmétiques. La campagne HSI #BeCrueltyFree a joué un rôle important dans l’adoption de la phase finale de l’interdiction de l’Union européenne en 2013, puis en Inde, à Taïwan, au Guatemala, en Nouvelle-Zélande, en Corée du Sud et dans sept états brésiliens. Aujourd’hui, HSI et nos partenaires sommes impliqués dans cette démarche auprès de 10 autres pays : Australie, Brésil, Canada, Chili, Philippines, Afrique du Sud, Sri Lanka, Vietnam et États-Unis.

Selon HSI, le Canada pourrait être le prochain pays à interdire la cruauté des cosmétiques, le projet de loi S-214 ayant atteint la moitié du processus législatif fédéral canadien. En effet, le projet a été approuvé par le Sénat en juin dernier et attend désormais une première lecture à la Chambre des communes. Selon une étude menée par The Strategic Counsel pour HSI et Animal Alliance of Canada, 88 % des Canadiens s’entendent à dire que tester de nouveaux cosmétiques n’est pas une raison valable pour faire souffrir les animaux, et 81 % sont en faveur d’une interdiction nationale des expérimentations animales pour les cosmétiques et leurs ingrédients. Pour tous les Canadiens souhaitant soutenir cette loi, vous pouvez contacter votre membre du Parlement via becrueltyfree.ca.

Les faits:

  • Les expérimentations animales du secteur cosmétique incluent des tests sur les irritations cutanées et oculaires pendant lesquels un produit ou ingrédient cosmétique est appliqué sur la peau rasée ou dans les yeux d’un lapin, des tests d’allergies cutanées sur des cobayes ou des souris, et des études de gavage pouvant durer plusieurs semaines ou mois. Ces expérimentations entrainent de graves souffrances, telles que cécité, yeux gonflés, peau irritée et sanglante, hémorragies internes, lésions aux organes, convulsions et mort. Il est rare qu’un antidouleur soit administré aux animaux, et à la fin des expérimentations les animaux sont tués, la plupart du temps par asphyxie, rupture des vertèbres ou décapitation.
  • La Loi canadienne sur les aliments et drogues exige que tous les cosmétiques et autres produits de soins personnels vendus au Canada soient sans danger lorsqu’ils sont utilisés conformément à l’usage auquel ils sont destinés, mais cette loi n’exige pas particulièrement que cette absence de danger soit prouvée par des tests effectués sur les animaux.

La déclaration d’Unilever concernant les alternatives aux expérimentations animales (octobre 2018) est disponible ici.

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Contact média : Aviva Vetter, t 514.975.9720, avetter@hsi.org

HSI/Canada, qui a assisté au sauvetage, applaudit Simon Cowell pour son don de 25 000 livres (42 000 CAD) ayant permis de rendre cette opération possible

Humane Society International


  • Jean Chung/For HSI

  • Jean Chung/For HSI

  • HSI/Canada and HSI

  • Jean Chung/For HSI

  • Jean Chung/For HSI

Photos et vidéos

MONTRÉAL—Plus de 200 chiens et chiots ayant passé leur vie dans des cages en métal, nombre d’entre eux souffrant de douloureuses blessures, de malnutrition et de maladies cutanées, sont en chemin vers des refuges d’urgence à travers le monde tandis que Humane Society International ferme sa 13e ferme de viande canine à ce jour.

Les cages seront détruites et les chiens acheminés vers le Canada, le Royaume-Uni, les États-Unis et les Pays-Bas où ils pourront trouver des foyers pour la vie. Plus de 90 chiens seront placés dans le refuge temporaire de HSI/Canada à Montréal.

Ewa Demianowicz, responsable de campagne pour HSI/Canada, a déclaré : « Cette ferme de viande canine est bouleversante. Les chiens passaient leurs journées dans des cages de métal sales, sans pouvoir satisfaire leurs besoins les plus essentiels. Ils auront une nouvelle vie merveilleuse dans leurs nouveaux foyers et ne souffriront plus jamais de privation ou de cruauté et cela est fantastique. »

Selon Nara Kim, militante HSI contre la viande de chien en Corée du Sud, le modèle de changement de HSI est la solution idéale : « À travers toute l’Asie, un élan visant à interdire le commerce de viande canine est actuellement en place. Hong Kong, les Philippines, Taiwan, la Thaïlande et Singapour ont déjà mis en place des interdictions. L’Indonésie s’est récemment engagée à mettre en place une interdiction et les autorités à Hanoi, au Vietnam, ont également promis de mettre un terme à ce commerce cruel. Il est donc temps pour la Corée du Sud de rejoindre le mouvement. »

HSI a fermé des fermes de viande canine à Namyangju, Ilsan, Hongseong, Haemi, Wonju, Goyang, Seongnam, Yesan et Gyeonggi-do. Certains éleveurs ont choisi de prendre leur retraite et d’autres de changer d’activité, en faveur de la production de champignons ou de céleris chinois par exemple.

HSI/Canada souhaite remercier les partenaires suivants pour avoir rendu rendu ce sauvetage possible : La Fondation Emmanuelle Gattuso, Kane Veterinary Supplies, Sharp Transportation et Air Canada.

Les médias dans le Grand Toronto sont invités à visiter le refuge d’urgence temporaire de Cambridge les 10 et 11 octobre et à Air Canada Cargo – Aéroport international Pearson de Toronto le 11 octobre à 8 h 30pm. Les médias de Montréal et de Québec peuvent filmer l’arrivée des chiens au Refuge d’urgence de Montréal de HSI/Canada, le 12 octobre dans l’après-midi (heure encore à déterminer). Appelez ou envoyez un courriel au contact ci-dessous pour plus d’informations.

Photos et vidéos en haute définition disponibles ici.

Les faits:

  • Plus de 2,5 millions de chiens sont élevés chaque année dans des milliers de fermes de viande de chien en Corée du Sud, le seul pays connu pour élever des chiens pour la consommation humaine. À travers l’Asie, la Chine, le Vietnam, l’Indonésie, l’Inde et l’Asie du Sud-Est, environ 30 millions de chiens sont tués et consommés chaque année, nombre d’entre eux sont des animaux domestiques volés et des chiens errants.
  • Outre une vie de souffrances dans les fermes, la méthode par laquelle ils sont tués est brutale – la mort par électrocution est la plus courante, les chiens mettent souvent jusqu’à cinq minutes pour mourir. La pendaison est aussi pratiquée. Les chiens sont tués à la vue de tous leurs autres compagnons.
  • Tandis que la plupart des gens ne consomment pas régulièrement de la viande de chien, cette pratique reste populaire pendant les jours de Bok Nal, en juillet et août. Un potage appelé bosintang, censé améliorer l’endurance et la virilité est alors consommé.
  • L’industrie de la viande de chien est un vide juridique en Corée du Sud, ni légal ni illégal. Nombre de dispositions de la loi sur la protection des animaux sont systématiquement violées. C’est le cas par exemple de l’interdiction de tuer des animaux de manière brutale comme en les pendant par le cou, dans des lieux publics ou devant d’autres animaux de la même espèce.
  • À chaque fermeture d’une ferme de viande de chien, HSI effectue un test vétérinaire pour détecter la présence du virus H3N2 ou la grippe canine au moment de leurs vaccins DHPP, contre la rage et contre le coronavirus. HSI vaccine également les chiens contre la maladie de Carré, le parvovirus et le coronavirus. Puis, HSI les met en quarantaine dans la ferme ou dans un refuge temporaire, dans lequel ou duquel aucun d’entre eux ne peut rentrer ou sortir, pendant au moins 30 jours avant de les transporter dans un autre pays.
  • Après avoir reçu des soins et une nourriture convenable aux refuges d’urgence de HSI/Canada, les chiens secourus seront acheminés vers des refuges Partenaires de placement d’urgence (Emergency Placement Partner, EPP) au Canada et aux États-Unis, qui faciliteront ensuite leur adoption par des familles pour la vie. Nous annoncerons quels sont nos EPP et ceux-ci pourront être contactés directement par les personnes souhaitant adopter l’un de ces chiens méritants. Pour plus d’informations, veuillez vous rendre sur le site Web hsicanada.ca/chiens.
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    Contact média: Ewa Demianowicz, t 514 395-2914 ext. 208, c 514-575-3499, edemianowicz@hsi.org

De l’abus animal resté impunis en raison d’un laxisme évident dans l’application des lois et de l’indifférence des autorités envers la souffrance animale

Humane Society International


  • Le gouvernement du Québec ne prend pas les mesures qu’il faudrait pour protéger les animaux de la maltraitance. Meredith Lee/The HSUS

MONTRÉAL—Humane Society International/Canada demande au gouvernement du Québec de faire appliquer convenablement la loi et de protéger les animaux de la maltraitance. Selon un dossier publié par La Presse la semaine passée, les autorités responsables de faire appliquer les lois de protection des animaux ne prennent pas les mesures nécessaires, voire ferment les yeux sur des cas de souffrance animale. Le gouvernement n’ayant pas encore renouvelé ses ententes avec les SPA et SPCA du Québec pour faire respecter la loi, il y a trop peu d’inspecteurs du bien-être des animaux dans la province pour couvrir le territoire entier.

Dites au gouvernement du Québec de protéger les animaux de l’abus.

Ewa Demianowicz, responsable de campagne sénior pour HSI/Canada, a déclaré : « Depuis de nombreuses années, les groupes de défense des animaux exigent une meilleure application des lois de protection des animaux, car il est clair qu’une législation non appliquée est sans effet. Le gouvernement du Québec ne prend tout simplement pas les mesures qu’il faudrait pour protéger les animaux de la maltraitance. »

Elle a ajouté : « Il est aberrant de constater que malgré les nombreuses promesses des dirigeants élus de fermer les usines à chiots et de régler les cas de maltraitance animale au Québec, absolument aucune amélioration n’a eu lieu. L’approche laxiste du gouvernement concernant l’application de ces lois permet aux usines à chiots de continuer leurs activités cruelles. Certaines d’entre elles reçoivent même des permis les autorisant à exercer dans une impunité presque absolue, comme l’ont démontré les preuves récoltées par La Presse. Malheureusement, ce ne sont pas des cas isolés. On a appris l’année passée qu’un éleveur de Saint-Honoré-de-Témiscouata avait obtenu une autorisation d’exercer malgré les 20 avertissements qu’il avait reçus pour non-respect des lois sur le bien-être animal. »

HSI/Canada demande au gouvernement du Québec de tenir ses promesses d’améliorer la condition des animaux dans la province et de faire appliquer les lois prévues pour les protéger. « Si rien ne change, la réputation du Québec de havre pour les personnes qui maltraitent les animaux ne risque pas d’évoluer », a conclu Demianowicz.

Les Québécois peuvent contacter les membres de l’Assemblée nationale dès aujourd’hui pour demander l’application en bonne et due forme des lois sur le bien-être animal au Québec : cliquez ici.

Pour les demandes d’entrevue, veuillez communiquer par téléphone ou par courriel avec la personne-ressource pour les médias indiquée ci-dessous.

Contact média: Christopher Paré – b: 514 395-2914 x 206, c: 438 402-0643, cpare@hsi.org

HSI/Canada, l’Alliance animale et LUSH Cosmétiques célèbrent l’arrivée à mi-chemin de la campagne canadienne #BeCrueltyFree

Humane Society International


  • HSI/Canada

OTTAWA—Le Canada est arrivé à la moitié du chemin pour garantir un marché des cosmétiques non testés sur les animaux, grâce à l’approbation finale par le Sénat de la Loi sur les cosmétiques sans cruauté. Le projet de loi visant à interdire les expérimentations animales pour les cosmétiques, ainsi que la vente de cosmétiques ayant fait l’objet de quelconque type de test sur les animaux, va maintenant être examiné par la Chambre des communes. Le projet a été modifié par le Sénat pour inclure une période de transition permettant aux entreprises du secteur d’avoir le temps de s’ajuster à cette nouvelle loi.

La marraine de ce projet au Sénat, la Sénatrice Carolyn Stewart Olsen, a déclaré : « Je suis ravie que la Loi sur les cosmétiques sans cruauté, que j’ai moi-même introduite en 2015 en collaboration avec Humane Society International et l’Alliance animale du Canada, ait été adoptée par mes collègues au Sénat. J’espère sincèrement que les membres du Parlement traiteront rapidement de cette affaire pour que les expérimentations animales des cosmétiques ne deviennent plus qu’un lointain souvenir. Le temps est venu pour le gouvernement canadien de faire un pas en avant et de prendre les mesures nécessaires afin d’interdire les tests sur les animaux pour les cosmétiques et de faire entrer le pays dans le 21e siècle. »

Troy Seidle, le vice-président de Recherche et de Toxicologie de HSI, a déclaré : « Nous remercions la Sénatrice Stewart Olsen d’avoir tenu un rôle majeur dans l’accomplissement de cette étape pour le bien-être animal au Canada. Trente-sept pays, dont les plus grands marchés de la beauté du monde, ont déjà adopté des mesures visant à interdire la cruauté dans le secteur des cosmétiques. Il est aujourd’hui grand temps que le Canada fasse de même. »

Tricia Stevens, porte-parole de LUSH, a déclaré : « En tant que chef de file dans le secteur des cosmétiques non testés sur les animaux, LUSH Cosmétiques frais faits à la main a soutenu ce projet de loi avec enthousiasme. Nous remercions le Sénat d’avoir pris la bonne décision. Une fois votée, la Loi sur les cosmétiques sans cruauté imposera le Canada comme un exemple et permettra au secteur des cosmétiques de prospérer et de proposer aux consommateurs les produits qu’ils désirent. »

Liz White, directrice de l’Alliance animale du Canada a ajouté : « Nous incitons les membres du Parlement à écouter leurs électeurs, dont la majorité soutient la mise en place de mesures législatives fédérales visant à mettre un terme aux expérimentations animales cruelles au Canada. Nous sommes impatients de travailler avec toutes les parties et d’assister à l’approbation de ce projet de loi. Aucun animal ne devrait plus souffrir pour la coquetterie de l’humain. »

Media Contact: Christopher Paré, o: 514-395-2914 x 206, c: 438-402-0643, email: cpare@hsi.org

HSI/Canada en appelle au soutien des bénévoles et du public pour venir s’occuper de chiens sévèrement négligés, dans un refuge d’urgence temporaire

Humane Society International


MONTRÉAL—Plus de 50 chiens d’une ferme de viande canine sud-coréenne ont échappé à la marmite à peine un mois avant le début du festival d’été appelé « Bok Nal », durant lequel plus d’un million de chiens sont mangés sous forme de soupe « bosintang ». Humane Society International travaille en Corée du Sud depuis trois ans. La stratégie du HSI est de démontrer que ce commerce cruel peut être supprimé progressivement. L’association a donc déployé tous ses efforts pour fermer définitivement plusieurs fermes de viande canine et pour aider les éleveurs à se tourner vers des moyens de subsistance alternatifs.

HSI est parvenu à un accord avec le propriétaire de la ferme qui élevait des chiens pour la consommation humaine depuis quatre ans à Namyangju, dans la province du Gyeonggi. Il prévoit aujourd’hui de développer son activité de culture de céleri chinois, qui est bien plus rentable. Cette ferme de viande canine est la 12e à être fermée par HSI qui a, jusqu’à maintenant, rapatrié plus de 1 300 chiens au Canada, aux États-Unis et au Royaume-Uni. Ces chiens ont alors pu recevoir des soins intensifs et ils ont eu la chance d’être adoptés par des foyers stables.

Les 50 derniers chiens, dont des Terriers croisés, des Jindo croisés et des Labradors croisés, sont présentement en chemin vers le refuge d’urgence de Humane Society International/Canada, à Montréal, où ils recevront des soins vétérinaires d’urgence, de la nourriture et où ils apprendront à socialiser. Parallèlement, en Corée du Sud, les militants de HSI basés à Séoul publient les photos de la ferme de viande canine pour sensibiliser la population, à l’approche de la saison du « Bok Nal » et alors que les soupes de viande canine apparaissent de plus en plus couramment sur les menus.

Rebecca Aldworth, directrice générale de HSI/Canada, a déclaré : « Marcher au milieu de cette ferme de viande canine m’a brisé le cœur. De nombreux chiens étaient entassés dans des cages en fil de fer, sans protection contre les éléments. Certains d’entre eux avaient des cicatrices et des blessures, et pour cause, l’intense frustration et l’ennui de vivre confinés dans des cages si petites, jour et nuit, provoquaient des batailles entre compagnons de cage. Ils survivaient grâce à une bouillie dégoutante composée de restes broyés des restaurants environnants et ne buvaient jamais d’eau fraiche. La plupart des chiens étaient absolument terrorisés, mais lorsque nous les sortions de leurs cages, ils semblaient comprendre que nous étions là pour les aider. Grâce à nos incroyables militants, ces merveilleux chiens seront désormais sains et saufs au Canada, et ils recevront toute l’attention et l’amour dont ils ont besoin. »

Borami Seo, gestionnaire principale en matière de politiques chez HSI/Corée du Sud, a déclaré : « Cette ferme de viande canine est représentative des petits élevages que l’on peut trouver partout en Corée du Sud : des cages délabrées, des conditions de vie ignobles, des chiens dans un état choquant. Lorsque notre équipe est arrivée, certains étaient entre la vie et la mort. Il est primordial que nous montrions aux Coréens la sinistre réalité de ces endroits. La plupart d’entre eux n’en ont aucune idée et en sont complètement choqués. Bien que manger de la viande canine soit une tradition en déclin qui, nous le pensons, finira par s’éteindre, nous remarquons encore aujourd’hui une augmentation du nombre de consommateurs de soupe canine pendant le festival « Bok Nal », en été. Nous espérons changer cela en exposant au grand jour les conditions sordides et cruelles dans lesquelles sont élevés ces chiens. Nous espérons également faire réagir le gouvernement à l’heure où un nombre croissant de Sud-Coréens réclament de nos dirigeants politiques qu’ils mettent un terme à ce commerce barbare. »

Le propriétaire de l’établissement de viande canine, Mr Shin, s’est montré enthousiaste à l’idée de se rallier au programme de fermeture des fermes de viande canine, après avoir appris que d’anciens fermiers dans la même situation que lui l’avaient rejoint. Avec la baisse de ses bénéfices de l’élevage de chiens pour la consommation et l’essor de son activité de culture de céleri chinois, Mr Shin a réalisé que le commerce de viande canine était un secteur voué à disparaître. Une fois que HSI aura secouru les chiens, les cages seront détruites et Mr Shin se concentrera pleinement sur la pousse de ses cultures.

Chaque année, plus de 2,5 millions de chiens sont élevés dans des milliers de fermes de viande canine en Corée du Sud. De nombreux chiens secourus lors de la dernière opération de HSI souffrent de maladies cutanées très douloureuses et d’entorses qui seront traitées au Canada. Un des chiens secourus, un cocker anglais du nom de Louis, malgré qu’il ait été abandonné par sa famille d’adoption et qu’il ait vécu dans des conditions effroyables, se montre tout de même aujourd’hui très affectueux et est sans cesse à la recherche de tendresse. Kaya, une magnifique Jindo croisée, maman d’adorables petits chiots, a également été secourue de cet enfer. HSI espère qu’ils oublieront vite ces tristes jours passés dans une ferme de viande canine.

Ces sauvetages n’auraient pas été possibles sans le soutien sans faille et généreux des Amis de HSI, de la Fondation Familiale Eric S. Margolis, la Fondation Emmanuelle Gattus, Sharp Transportation et nos incroyables membres du personnel et bénévoles au refuge.

FAITS :

  • « Bok Nal » n’est pas un festival ou un événement isolé, mais les trois jours les plus chauds de l’été selon le calendrier lunaire, le 17 juillet (Cho Bok), le 27 juillet (Jung Bok) et le 16 août (Mal Bok).
  • C’est au cours du « Bok Nal » que 70 à 80 pour cent de la viande canine est consommée en Corée du Sud, principalement sous forme d’une soupe appelée à « bosintang » qui est censée améliorer l’endurance et la virilité.
  • Outre une vie de souffrances dans les fermes, la méthode par laquelle les chiens sont tués est brutale : la mort par électrocution est la plus courante. Les chiens mettent généralement jusqu’à cinq minutes pour mourir (on a même recensé des cas où certains d’entre eux ont souffert pendant 20 minutes avant de mourir). La pendaison est aussi pratiquée. Les chiens sont tués à la vue de tous leurs autres compagnons.
  • L’industrie de la viande canine est un vide juridique en Corée du Sud. Ce n’est ni légal ni illégal. Nombre de dispositions de la loi sur la protection des animaux sont systématiquement violées. C’est le cas par exemple de l’interdiction de tuer des animaux de manière brutale comme en les pendant par le cou, dans des lieux publics ou devant d’autres animaux de la même espèce.
  • En Chine, au Vietnam, en Indonésie, en Inde et dans d’autres pays d’Asie, environ 30 millions de chiens sont brutalement tués et mangés chaque année. Cependant, Hong Kong, les Philippines, Taïwan, la Thaïlande et Singapour ont mis en place des interdictions concernant la viande canine.

Pour les demandes d’entrevue, veuillez communiquer par téléphone ou par courriel avec la personne-ressource pour les médias indiquée ci-dessous. Pour télécharger les photos en haute résolution, cliquez ici; puis cliquez sur « créer un compte » en haut de la page.

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La clinique vétérinaire gratuite pour cette communauté autochtone isolée propose une solution humaine pour maitriser la population de chiens errants

Humane Society International


  • Michael Bernard/HSI Canada

MONTRÉAL—HSI/Canada et Chiots Nordiques se rendront dans la communauté autochtone isolée d’Unamen Shipu (La Romaine) pour organiser une clinique de stérilisation pour les chiens errants.

À cause du manque d’accès aux services vétérinaires (la zone est accessible uniquement par avion), la communauté d’Unamen Shipu a dû recourir à des méthodes cruelles afin de contrôler la population de chiens errants. Ces dernières années, ces animaux risquaient de se faire tuer… Mais aujourd’hui, l’espoir renait pour ces chiens, car la communauté s’est pleinement engagée à adopter une solution humaine et durable : la stérilisation. Dans de nombreuses zones rurales, où l’accès aux ressources est limité, les chiens sont abattus, car les habitants pensent qu’il s’agit de la seule solution.

Ewa Demianowicz, responsable de campagne pour HSI/Canada, a déclaré : « Nous sommes fiers de participer à une initiative si importante et de collaborer avec la population d’Unamen Shipu, qui s’est montrée réellement déterminée à instaurer un modèle plus humain de contrôle de la population de chiens errants. Cette communauté isolée est seulement accessible par avion et ne dispose d’aucun service vétérinaire sur place. Dans ces conditions, une crise de surpopulation canine a éclaté et près de 200 chiens se sont retrouvés à errer librement dans les rues. La clinique de stérilisation de masse organisée par Chiots Nordiques et HSI/Canada s’apprête à régler ce problème en réduisant la population de chiens de façon humaine et sans souffrance. »

Dre Daphnée Veilleux-Lemieux—Chiots Nordiques, a ajouté : « Depuis près de 6 ans, nos bénévoles travaillent d’arrache pieds pour aider ces chiens dans le besoin lors de cliniques de stérilisations ciblées ponctuelles. Le soutien des nombreux partenaires ainsi que la collaboration des communautés et leur désir profond de changement est primordial pour atteindre des résultats optimaux. Les communautés ayant été visitées par la passé commencent à contrôler la population canine grâce à ce merveilleux travail d’équipe. Notre organisation désire par cette clinique offrir non seulement des soins de qualité aux chiens présents à Unamen Shipu mais aussi améliorer la sécurité publique. »

Cette clinique aura des résultats positifs à long terme et permettra d’épargner des souffrances inutiles à un grand nombre de chiens. Cette approche est non seulement plus efficace que l’abattage, mais elle est également bien moins traumatisante, pour les chiens comme pour les habitants de La Romaine.

Pour les demandes d’entrevue, veuillez communiquer par téléphone ou par courriel avec la personne-ressource pour les médias indiquée ci-dessous.

Contact média: Christopher Paré—b: 514 395-2914 x 206, c: 438 402-0643, cpare@hsi.org

Près de 90 chiens ont été secourus grâce à la générosité du sauveteur d’animaux Eric Margolis et d’autres dirigeants de communauté

Humane Society International


  • Abigail Hubbard

MONTRÉAL—Un total de 89 chiens et chiots sauvés d’une ferme de viande canine sud-coréenne en mars dernier ont quitté le foyer d’urgence de Humane Society International/Canada à Montréal. La plupart des chiens ont d’ores et déjà été adoptés par des foyers stables, tandis que les autres ont été placés dans des organismes de sauvetage où ils pourront être adoptés. HSI/Canada a travaillé conjointement avec les SPA, SPCA, groupes de secours animalier et sociétés pour la prévention de la cruauté envers les animaux au Canada et aux États-Unis afin de trouver des familles aimantes aux chiots et chiens sauvés.

Ce sauvetage a été en grande partie possible grâce à la généreuse contribution du sauveteur d’animaux Eric Margolis. Conjointement avec la Fondation Familiale Eric S. Margolis, il a commandité HSI dans le sauvetage de milliers de chiens et d’autres animaux maltraités dans des usines à chiots au Québec et victimes de négligences et du commerce de viande canine en Chine et en Corée du Sud. Notre opération d’hébergement temporaire a également été rendue possible grâce au personnel du foyer HSI et à tous les bénévoles. Ces derniers mois, ils ont travaillé jour et nuit pour guérir ces chiens et pour les aider à retrouver confiance en l’homme. De plus, des entreprises partenaires telles que Mondou, Kruger, Kane Vet Supplies, Sharp Transportation et Global Pet Foods/Pitou & Minou nous ont fourni des hébergements et de la nourriture pour les animaux.

Notre foyer d’urgence à Montréal rouvrira mi-juin, lorsque HSI/Canada participera à la fermeture d’une autre ferme de viande canine en Corée du Sud.

Rebecca Aldworth, directrice générale de HSI/Canada, a déclaré : « Le sauvetage de près de 90 chiens de l’horreur d’une ferme de viande canine en mars a été possible grâce à un effort commun. La participation conjointe de notre principal commanditaire, le généreux Eric Margolis, de nos équipes au foyer qui ont travaillé sans relâche, des entreprises partenaires qui ont offert des produits pour le foyer et de nos partenaires de placement, a permis d’offrir une seconde chance à ces chiens. Il y a seulement quelques semaines, certains d’entre eux, profondément terrorisés, n’osaient même pas à sortir de leurs enclos. Aujourd’hui, la plupart de ces chiens ont déjà trouvé un foyer chaleureux et stable. Nous sommes ravis de les voir se remettre du traumatisme qu’ils ont enduré et devenir les ambassadeurs de notre campagne visant à interdire le commerce de viande canine à l’échelle mondiale. »

Les chiens secourus, dont des jindo croisés, des huskies croisés et des Montagnes des Pyrénées croisés, ont vécu dans d’horribles conditions. Isolés et enfermés dans des cages en fil de fer, ils n’avaient pour seule nourriture que les restes d’un restaurant. Le propriétaire de cette ferme a volontairement remis les chiens et a, depuis, trouvé une vocation plus humaine, avec l’aide de HSI.

Contact média: Christopher Paré – b: 514 395-2914 x 206, c: 438 402-0643, cpare@hsi.org

Humane Society International


  • Matt, Gus et Beemo. Dario Ayala

Téléchargements de médias

MONTREAL—Humane Society International a sauvé plus de 80 chiens d’un élevage de viande canine en Corée du Sud grâce au soutien généreux de la Fondation Familiale Eric S. Margolis. Les chiens sont maintenant arrivés au Canada et s’apprêtent à trouver des foyers pour la vie. Parmi ces chiens chanceux se trouve Beemo, qui a fait craquer le skieur acrobatique olympique américain Gus Kenworthy et son petit-ami Matt Wilkas lorsqu’ils ont visité l’élevage de viande canine avec HSI il y a deux semaines.

Gus et Ken ont retrouvé la petite Beemo au refuge d’urgence temporaire d’Humane Society International/Canada à Montréal, où les chiens rescapés recevront au cours des prochaines semaines les soins et l’attention dont ils ont désespérément besoin. La chienne, un croisement de jindo et de husky, vivait dans une propriété de la province de Gyeonggi-do, dans des températures négatives, lorsque le couple l’a remarquée.

Devenez défenseur de tous les animaux.

Gus Kenworthy a déclaré : « Visiter cet élevage de viande canine en Corée du Sud a été une des expériences les plus déchirantes de ma vie. J’étais vraiment bouleversé de voir ces beaux animaux endurer des traitements si horribles, inhumains, et de savoir que sans l’intervention de HSI, ils auraient tous été tués de manière très brutale, puis mangés. J’ai un profond respect pour la Corée du Sud, mais je ne crois pas que la culture puisse être utilisée comme excuse à la cruauté envers les animaux. »

Le couple a fait le tour du refuge d’urgence de HSI/Canada pour revoir certains chiens qu’ils avaient rencontrés dans l’exploitation insalubre et couverte de neige maintenant à l’abri du danger, au chaud, et soignés par HSI. Les chiens sont de différentes races, notamment des croisements de mastiff, des jindos, des montagnes des Pyrénées, des huskies et des labradors. Mais Gus et Matt avaient particulièrement hâte de retrouver la petite Beemo, un croisement de jindo et de husky.

Gus Kenworthy a dit : « Lorsque nous étions dans l’élevage de viande canine, Matt et moi sommes immédiatement tombés en amour avec Beemo. Je l’ai prise dans mes bras et j’ai immédiatement su qu’elle allait venir vivre avec nous, et qu’on avait très envie de lui offrir une vie merveilleuse. C’est fantastique de la voir si loin de cette horrible cage. Mais en Corée du Sud, des millions de chiens souffrent encore. Si je peux sensibiliser le public, faire connaître le programme de fermeture des élevages de viande canine et montrer comment HSI travaille fort pour mettre fin à ce commerce, je suis heureux de participer, pour Beemo et pour tous ces magnifiques chiens. »

Rebecca Aldworth, directrice générale de HSI/Canada, a ajouté : « Nous sommes très reconnaissants envers les soutiens de HSI et la Fondation Familiale Eric S. Margolis d’avoir rendu cet important sauvetage possible. C’est tout simplement merveilleux de voir ces chiens enfin en sécurité au Canada. Mais ces fermetures d’élevages de viande canine sont un symbole encore plus fort : nous participons à prouver au gouvernement sud-coréen qu’il existe une solution viable pour mettre fin au commerce de la viande canine, et qu’elle profite aussi bien aux chiens qu’aux éleveurs. Nous espérons que le gouvernement sud-coréen pourra adopter ce modèle de transition pour mettre fin au commerce de la viande de chien en mettant en place un programme de transition dans tout ce secteur. »

Eric Margolis, fondateur de la Fondation Familiale Eric S. Margolis et important donateur pour ce sauvetage, s’est exprimé : « Lorsque je vois l’étendue de la cruauté qui existe dans le commerce de la viande de chien, je fais tout ce qui est en mon pouvoir pour y mettre un terme. Ces pauvres chiens ont trop longtemps enduré de terribles souffrances. Aujourd’hui, ils ont une deuxième chance et un avenir radieux. Je suis honoré d’aider HSI/Canada à redonner leur liberté à ces chiens méritants. »

FAITS :

  • Cette fermeture d’un élevage de viande canine a été rendue possible par le soutien généreux de la Fondation Familiale Eric S. Margolis et des partisans de HSI.
  • Chaque année, plus de 2,5 millions de chiens sont confinés dans des élevages de viande canine en Corée du Sud et destinés à la consommation humaine.
  • HSI aide à mettre fin à ce commerce brutal en montrant que son programme de fermeture des élevages de chiens est réalisable. HSI s’engage légalement auprès de l’éleveur à sauver ses chiens et à l’aider à mener une transition vers un nouveau moyen de subsistance plus humain. Jusqu’à présent, nous avons sauvé la vie de plus de 1300 chiens et nous avons fait connaître leurs histoires au monde entier.

Cliquez ici et ici pour télécharger les photos en haute résolution. Pour être bénévole à notre refuge d’urgence ou pour adopter un des chiens sauvés, veuillez visiter hsicanada.ca/savedogs.

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